Quand elle est partie du SCCCUL, on l’a pleurée. Et même plus littéralement qu’on s’autorise à se le dire.
Pas par dépit; nous avions une équipe, des collègues, des membres, une relève exceptionnelle…
Non, mais parce que Christine, c’est Christine.
Elle était là, au Comité de négociation, puis présidente du SCCCUL, à débrayer à nos côtés en tant que vice-présidente de la FNEEQ ces dernières semaines, et toujours de cœur, toute de cœur parce qu’ayant tout à cœur (le SCCCUL, nos conditions de travail, nous)…
Elle était là.
Christine est jeune, mais elle habite et incarne les valeurs, les luttes et les victoires du SCCCUL depuis déjà quelques hier, à chaque présent, et, souhaitons-le-nous, pour de nombreux lendemains encore.
En fait, Christine n’est jamais partie. Séchons nos larmes, camarades. Christine est et demeure avec nous.
Quant à la FNEEQ, elle compte, avec Christine sur son exécutif – nous, on le sait! – une femme plus que remarquable.
