Manifestation régionale : Journées internationale des travailleuses et des travailleurs

1er mai 2017

Date : 1er mai, rassemblement à 17 h 30

Où : À la place de l’Université

La Coalition pour la Justice sociale invite la population à souligner le 1er mai: Journée internationale des travailleuses et des travailleurs! Pour l’occasion, une grande marche familiale aura lieu pour revendiquer un salaire minimum à 15$/hre pour toutes et tous! Parce que trop de travailleuses et de travailleurs à bas salaire, peinent à joindre les deux bouts et vivent sous le seuil de la pauvreté. Tous et toutes devraient bénéficier d’un revenu décent pour une vie digne incluant les personnes prestataires d’aide sociale, les étudiantes et les étudiants, les personnes âgées, les personnes accidentées, etc.
*Un rassemblement aura lieu à 17 h 30 à la place de l’Université durant lequel vous pourrez partager une soupe populaire au son de la fanfare Tint(A)nar!
*Le départ de la marche aura à 18 h 30. Celle-ci se déroulera dans le quartier St-Roch et effectuera une boucle pour revenir à la place de l’Université.

***Pourquoi le 1er?***
La journée du 1er mai sert à commémorer les gains obtenus par le mouvement ouvrier et à rappeler les luttes qu’il reste à faire pour améliorer les conditions de vie des travailleuses et es travailleurs de différents secteurs.

***Pourquoi un salaire minimum à 15$/hre?***
Parce que le salaire minimum actuel de 10,75/hre ne permet pas de couvrir ses besoins de base.
Parce que pour sortir de la pauvreté et de la précarité, un salaire minimum à 15,10$ est nécessaire.
Parce qu’un million de travailleuses et travailleurs gagnant moins de 15$/hre auraient de meilleures conditions de vie.
Parce que 58% des personnes travaillant au salaire minimum sont des femmes et qu’augmenter le salaire minimum à 15$/hre permettrait d’améliorer leurs conditions de vie.
Parce que les prestations à l’aide sociale ne peuvent augmenter que si le salaire minimum augmente également.
Parce que les prestations d’aide sociale devraient permettre d’avoir une vie digne.
Parce que 61% des personnes usagères de banques alimentaires sont prestataires d’aide sociale.
Parce que 10,5% des personnes usagères de banque alimentaire occupent un emploi, sans parvenir à couvrir leurs besoins de base.
Parce que depuis les années 70, le pouvoir d’achat des travailleuses et des travailleurs au salaire minimum s’est détérioré, une hausse significative du salaire minimum permettrait de retrouver un pouvoir d’achat équivalent.

Pour plus d’informations visitez la page Facebook de l’événement

Source : RÉPAC

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